Chevillard, Éric

Diplômé de l’École supérieure de journalisme de Lille en 1987, Éric Chevillard entre en littérature la même année avec Mourir m’enrhume, roman édité chez Minuit. Depuis cette date, il s’approche de la quarantaine de titres publiés, dont la moitié est constituée de fictions ludiques et indécidables.

« Que changerais-je à ma vie, si je pouvais la recommencer ? Les idées me vinrent par dizaines, et je me lançai confiant dans la rédaction de mon autobiographie » (L’Autofictif en vie sous les décombres, 2014). C’est sur ces mots que s’achève le sixième tome d’un journal singulier que l’auteur nomme Autofictif. L’Autofictif a […]

Bibliographie

Elin Beate Tobiassen, « De l’autobiographie à la réflexion : la question de l’auteur dans Éric Chevillard, Du hérisson », 2006, http://rudar.ruc.dk/handle/1800/8484.

Fabrice Thumerel, « De la chenille au sphinx : signé Chevillard. Portrait de l’écrivain en animal polymorphe », dans Éric Chevillard, Pierre Jourde et Olivier Bessard-Banquy (dir.), Classiques Garnier, 2014.

Gaspard Turin, « Éric Chevillard : l’autofiction comme expression d’un anti‑sujet », dans L’Autofiction : variations génériques et discursives, Joël Zufferey (dir.), L’Harmattan, 2012.


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179-180

Pour citer cet article: 

Thumerel Fabrice, « Chevillard, Éric », dans Dictionnaire de l’autobiographie, dir. F. Simonet-Tenant, avec la collab. de M. Braud, J.-L. Jeannelle, P. Lejeune et V. Montémont, Paris, Champion, 2017, p. 179-180, en ligne, URL : https://ecrisoi.univ-rouen.fr/dictionnaire/chevillard-eric, page consultée le 26/11/2024.