Suisse

Les relations toutes privilégiées que la littérature du moi entretient avec la Suisse romande ne sont pas accidentelles. Elles découlent de circonstances qui, a priori, lui paraissent étrangères. C’est à ces circonstances qu’il convient d’abord de s’arrêter.

La Suisse romande ou Romandie est un espace correspondant à la partie ouest de la Suisse et dans lequel la langue d’usage est le français. Il comprend les cantons de Genève, de Vaud, de Neuchâtel, du Jura, une partie des cantons du Valais, de Fribourg et de Berne.

Cet espace romand n’a certes pas été impliqué dans ce qui peut être tenu pour […]

Bibliographie

Max Engammare, L’Ordre du temps. L’invention de la ponctualité au XVIe siècle, Genève, Droz, 2004.

Roger Francillon (dir.), Histoire de la littérature en Suisse romande, Lausanne, Payot, t. I‑IV, 1996‑1999.

Bertil Galland, La Littérature de la Suisse romande expliquée en un quart d’heure, Genève, Zoé, 1986.

Manfred Gsteiger, La Nouvelle Littérature romande, Vevey, Lausanne, Zurich, Ex Libris‑Bertil Galland, 1978.

Luc Weibel, Les Petits Frères d’Amiel, Carouge‑Genève, Zoé, 1997.


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756-759

Pour citer cet article: 

Queloz Jean-Jacques, « Suisse », dans Dictionnaire de l’autobiographie, dir. F. Simonet-Tenant, avec la collab. de M. Braud, J.-L. Jeannelle, P. Lejeune et V. Montémont, Paris, Champion, 2017, p. 756-759, en ligne, URL : https://ecrisoi.univ-rouen.fr/dictionnaire/suisse, page consultée le 19/05/2024.