Née dans une famille comprenant un juge, des avocats et un jésuite, Nicole Brossard grandit à Montréal. Sa scolarité se passe sans encombre et se termine un an après le décès du Premier ministre Maurice Duplessis, événement marquant la fin de la Grande Noirceur et le début de la Révolution tranquille. Après avoir travaillé deux ans en tant que secrétaire, elle fait un voyage de six semaines en Europe avant de commencer des études en littérature à l’Université de Montréal, dont elle obtient un BA en 1968 lui permettant d’enseigner. Sa carrière d’écrivaine commence avec la publication de son premier recueil intitulé Aube à la saison (1965) ainsi qu’avec la […]

Bibliographie

Barbara Havercroft, « Hétérogénéité énonciative et renouvellement du genre. Le Journal intime de Nicole Brossard », dans Voix et Images, vol. 22, n^o 1, automne 1996, p. 22-37.

Julie LeBlanc, « Langage de l’espace et sexuation dans les journaux intimes de Nicole Brossard », dans Sexuation, espace, écriture. La littérature québécoise en transformation, Louise Dupré, Jaap Lintvelt et Janet Paterson (dir.), Québec, Nota bene, 2002, p. 67-91.

Julie LeBlanc, « Écriture et réécriture au féminin. Les journaux de Nicole Brossard », dans Genèse de soi. L’écriture du sujet féminin dans quelques journaux d’écrivaines, Montréal, Éditions du remue-ménage, 2008, p. 45-70.

Émilie Notard, « Polytechnique, polyphonie et polynésie : le ludisme autobiographique chez Nicole Brossard », dans Quaderns de Filologia. Estudis literaris, vol. 16, Valencia, 2011, p. 65-81.